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Poème choisi
Une maîtresse marseillaise
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Une maîtresse marseillaise
Ses seins étaient comme la pastèque
Tout avec elle, était un salamalec
Elle était catholique, pas loin d'être intégriste
Et moi anachronique, j'étais anationaliste
C'était une grosse femme de Marseille
Sensuelle cependant, elle maintenait mes sens, en éveil
Pour un pari, sa vulve s'était fait raser
C'était un bonbon, que j'aimais à sucer
Coquin de vieux sort, elle aimait le Vieux-Port
Une vraie fourmilière, de partout, cela sort
Des gens partout, cela est fou
Et comme toujours, la peur du loup
Et donc, de ce qui n'est pas comme nous
Devant une pharmacie, vous restez un instant
Et l'on vous prend pour un délinquant !
Alors que vous attendez quelqu'un
Un copain, que connaissait le pharmacien !
Veuillez nous excuser, monsieur
Mais en ces temps incertains, il y a le feu
Partout, les gens ont peur de tout
D'eux-mêmes, de leurs voisins
De choses graves, des petits riens
Tout le monde est un loup-garou
Ses seins étaient comme la pastèque
Tout avec elle, était un salamalec
J'étais comme un nourrisson
Face à ses deux énormes nichons
J'étais comme à la messe
Car mon missel , c'était ses grosses fesses
Elle aurait pu m'assommer
D'un coup de mamelle, sous ses ailes
Elle aurait pu m'étouffer
Sans conteste, sous son fessier, ô femelle
C'était le Sud, fidélité du beau
C'était l'été, fidélité du chaud
Cela ne dura pas longtemps
Certes, je n'étais qu'un passant
Prêt à certaines expériences
Et aussi à une jouissive licence
Patrice Faubert (1983) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Tout avec elle, était un salamalec
Elle était catholique, pas loin d'être intégriste
Et moi anachronique, j'étais anationaliste
C'était une grosse femme de Marseille
Sensuelle cependant, elle maintenait mes sens, en éveil
Pour un pari, sa vulve s'était fait raser
C'était un bonbon, que j'aimais à sucer
Coquin de vieux sort, elle aimait le Vieux-Port
Une vraie fourmilière, de partout, cela sort
Des gens partout, cela est fou
Et comme toujours, la peur du loup
Et donc, de ce qui n'est pas comme nous
Devant une pharmacie, vous restez un instant
Et l'on vous prend pour un délinquant !
Alors que vous attendez quelqu'un
Un copain, que connaissait le pharmacien !
Veuillez nous excuser, monsieur
Mais en ces temps incertains, il y a le feu
Partout, les gens ont peur de tout
D'eux-mêmes, de leurs voisins
De choses graves, des petits riens
Tout le monde est un loup-garou
Ses seins étaient comme la pastèque
Tout avec elle, était un salamalec
J'étais comme un nourrisson
Face à ses deux énormes nichons
J'étais comme à la messe
Car mon missel , c'était ses grosses fesses
Elle aurait pu m'assommer
D'un coup de mamelle, sous ses ailes
Elle aurait pu m'étouffer
Sans conteste, sous son fessier, ô femelle
C'était le Sud, fidélité du beau
C'était l'été, fidélité du chaud
Cela ne dura pas longtemps
Certes, je n'étais qu'un passant
Prêt à certaines expériences
Et aussi à une jouissive licence
Patrice Faubert (1983) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Faubert Patrice- Messages : 2176
Date d'inscription : 14/09/2013
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