COMPLAINTE D'UNE COUGUAR

VICTORAL Jeu 18 Avr - 8:23

Pour laver mon honneur d'un affront absolu
En forme de sonnet, mon Dieu, qu'elle aventure !
Je dois, sans défaillir, vous narrer la rupture
D'un rapport adultère à ce jour révolu

Si j'ai, sans trop d'efforts, jeté mon dévolu
Sur cet adolescent, proie offerte en pâture,
C'est qu' il est avéré que dessous la ceinture
Le jeune est plus fougueux, voire plus dissolu.

Cet Apollon, doublé d'un fabuleux Hercule,
Me fit considérer mon époux ridicule
Après quelques envols pour le moins libertins.

Pourtant imaginez toute mon amertume
D'avoir cru gentleman ce garçon du bitume
Qui m'afflige depuis de "pire des catins" !