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Poème choisi
Après la tempête
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Après la tempête
Nous sommes de retour il fait froid il fait nuit.
Tout au long de la route, des rafales de pluie,
Des bourrasques de vent ont balayé la route.
Les arbres arrachés ne laissent pas de doute
Sur la violence du vent, la force des éléments
Qui se sont déchaînés, avec rage, brusquement.
Tendus et très inquiets nous arrivons enfin,
Les phares de la voiture éclairent le jardin,
Nous sommes silencieux, on avance à pas lents.
Le spectacle est affreux et le choc est violent.
Dans la haie de thuyas il y a un grand vide
Des arbres arrachés jonchent la terre humide
Leurs silhouettes inertes ressemblent à des gisants
Et certains geignent encore comme des agonisants.
Certains sont arrachés à partir des racines
D'autres ont perdu leur tête et avec leurs épines
D'autres enfin sont brisés à la hauteur du tronc
Un de nos peupliers est penché mais tient bon.
Un magnifique sapin que tu avais planté
Est couché sur le flanc les racines arrachées.
Le vieil arbre dans lequel les filles avaient joué
Celui que l'on croyait solide, enraciné
A lui aussi subit l'assaut de la tempête
Et comme beaucoup d'autres y a perdu sa tête.
Sans un mot nous rentrons et de nos yeux sans peine
Coulent silencieusement les larmes de nos peines.
Tout au long de la route, des rafales de pluie,
Des bourrasques de vent ont balayé la route.
Les arbres arrachés ne laissent pas de doute
Sur la violence du vent, la force des éléments
Qui se sont déchaînés, avec rage, brusquement.
Tendus et très inquiets nous arrivons enfin,
Les phares de la voiture éclairent le jardin,
Nous sommes silencieux, on avance à pas lents.
Le spectacle est affreux et le choc est violent.
Dans la haie de thuyas il y a un grand vide
Des arbres arrachés jonchent la terre humide
Leurs silhouettes inertes ressemblent à des gisants
Et certains geignent encore comme des agonisants.
Certains sont arrachés à partir des racines
D'autres ont perdu leur tête et avec leurs épines
D'autres enfin sont brisés à la hauteur du tronc
Un de nos peupliers est penché mais tient bon.
Un magnifique sapin que tu avais planté
Est couché sur le flanc les racines arrachées.
Le vieil arbre dans lequel les filles avaient joué
Celui que l'on croyait solide, enraciné
A lui aussi subit l'assaut de la tempête
Et comme beaucoup d'autres y a perdu sa tête.
Sans un mot nous rentrons et de nos yeux sans peine
Coulent silencieusement les larmes de nos peines.
JeanBaptisteP- Messages : 1
Date d'inscription : 02/05/2009
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