poète et poésie en ligne
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Connexion

Récupérer mon mot de passe

Qui est en ligne ?
Il y a en tout 3 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 3 Invités :: 1 Moteur de recherche

Aucun

[ Voir toute la liste ]


Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 243 le Mar 16 Mar - 18:58
Flux RSS


Yahoo! 
MSN 
AOL 
Netvibes 
Bloglines 


Poème choisi
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €

Le capital de toutes les souffrances

Aller en bas

Le capital de toutes les souffrances Empty Le capital de toutes les souffrances

Message  Faubert Patrice Jeu 8 Oct - 1:05

4 G, 0,27 par seconde
5 G, 0,01 par seconde
Mais tout G
C'est surtout de la surveillance
De la fausse bienveillance
Soixante dix pour cent pour la 5 G, ô parjure d'espérance
Avec des matériaux rares
Avec des déchets pas avares
Au tout artificiel
Quand se perd même le sommeil naturel
Et toute lumière artificielle
Perturbant notablement le sommeil
Dix pour cent de la population mondiale
Est devenue insomniaque, affolement neuronal
Six millions d'insomniaques en France
Avec 6 heures et 48 minutes de sommeil moyen en France
Car
Le temps de l'économie
N'est pas le temps, de l'être humain et de sa biologie
Le temps n'est plus perçu
Seul le temps artificiel de l'économie est su
Maladies, accidents, obésité ou surcharge pondérale, de la malbouffe
Le manque de sommeil nous étouffe
De la vitesse d'alimentation, donc, de la piètre concentration
Du travail décalé, de la dépression, prix de la promotion
Obscurité, sommeil, jeûne, en perturbation
Trop de luminosité, des troubles d'endormissement, en généralisation !
Avec des somnifères
En fait de l'anesthésie légère
Et en Europe
L'Espagne et la France, au top
Avec de l'apnée rarement passagère
De la respiration comme sans air
Avec tout son corollaire
Trois cent millions
Dans le monde, de gens en dépression
Notre sommeil est de mauvaise qualité
Nous ne dormons pas assez
Et bien dormir c'est bien récupérer
Vive le droit de ne rien faire et de paresser
Du capitalisme et de ses inéluctabilités
Tous les déchets non accumulés
Pour les bras de Morphée, un même procédé
Certaines analogies pouvant s'accoupler
L'organisation du monde est comme du cortisol
Tous les jours, riches ou pauvres, nous buvons son bol
De l'incohérence cardiaque
Quand tout bave du patraque
Quand tout sidère en vrac
Du n'importe quoi capitalisé et de son micmac
Certes
Pas à somnoler vingt heures comme le lion
Car selon chaque espèce animale, c'est selon
Or, le monde est bien nazi
Tant et tant de la vilenie
De l'expertise en dame hypocrisie
Ainsi, du transport des animaux vivants
Europe, Amérique du Sud, vers l'ouest
Bétaillères de l'horreur
Sans boire ni manger, des jours et des heures et des jours et des heures
Et à l'arrivée, animaux vivants, de la torture, de la terreur
Et à l'arrivée, animaux maltraités et tués, par des tortionnaires moqueurs !
Du produit d'exportation
Du produit d'extermination
Du produit de concentration
Toute une indéfinissable monstruosité
Toute une indéfinissable cruauté
Et l'industrie laitière en complicité
Avec des veaux, déchets de cette industrie meurtrière
La mort comme fin dernière
Comme en Egypte ou d'autres pays arabes
La bêtise immonde demande du rab
Animaux non étourdis
Découpés vivants, égorgés vivants, c'est ainsi
Israël aussi s'y met à table
Et la religion n'a rien à y voir
De la falsification pour le faire croire
Toute une tradition honteuse dans bien des pays
Du trafic de bétail sans aucun souci
Et pour l'animal humain
Et pour l'animal non-humain
Il en a été ainsi
Il en est ainsi
Dans une société nazie, il en sera toujours ainsi
Au tout fascisme, au tout stalinisme, au tout nazi
Qui surent bien faire des petits
Mais appelant cela, de nos jours, la démocratie
Donc
Tout pue la maltraitance
Et nous ne consommons que de la souffrance
De l'exploitation humaine et animale
D'une façon l'autre, et pas seulement, la boucherie, c'est l'évidence
Hélas, das faits, sans la moindre outrance
Partout, l'infiltration de mal en mal
Toutes les industries en sont la cadence
Toutes les technologies en sont la relance
La souffrance de toutes les souffrances
De nos cerveaux nazifiés
De nos cerveaux fascisés
De nos cerveaux stalinisés
Et depuis des décennies, mise à jour, année après année !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

Faubert Patrice

Messages : 2279
Date d'inscription : 14/09/2013

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum