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Poème choisi
Une maîtresse roumaine
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Une maîtresse roumaine
Elle avait fui la Roumanie
De Ceausescu en pleine folie
Elle était mon aînée, elle me plaisait
J'étais son cadet
Elle me dit tardivement
Qu'elle avait déjà mari et enfants
Aussi magnifiques que les gosses gitans
Aux cheveux noirs corbeaux
Aux si beaux cheveux
J'étais pour un monde sans aucune frontière
Un internationel, sans les manières
Internationelles, internationel
Pour les amants sans patrie
Aux mains offertes
Internationil, internationils
Pour les amantes sans parti
Aux lèvres ouvertes
La poésie doit tout oser
La poésie joue avec l'insensé
Des mots, il faut inventer
Elle regardait par la fenêtre
Une façon d'être
Quand je la bouchonnais
L'écume de ses vagues vaginales
S'irradiaient en petits râles
Quand je la suçais
Elle mouillait, je la vidais
Elle inondait, je la séchais
Elle était ma boisson
Elle m'ôtait la raison
Certains, certaines, sont alcooliques
Moi, j'étais vaginique
Pourtant, un jour, totalement, je faillis l'étrangler
Car, de fait, elle était bien mariée
Et ce fut secret bien gardé
Pendant un temps déterminé
Elle avait fui la Roumanie
De Ceausescu en pleine folie
Elle était brune comme prune noircie
Elle fut un temps ma folie
Patrice Faubert (1983) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
De Ceausescu en pleine folie
Elle était mon aînée, elle me plaisait
J'étais son cadet
Elle me dit tardivement
Qu'elle avait déjà mari et enfants
Aussi magnifiques que les gosses gitans
Aux cheveux noirs corbeaux
Aux si beaux cheveux
J'étais pour un monde sans aucune frontière
Un internationel, sans les manières
Internationelles, internationel
Pour les amants sans patrie
Aux mains offertes
Internationil, internationils
Pour les amantes sans parti
Aux lèvres ouvertes
La poésie doit tout oser
La poésie joue avec l'insensé
Des mots, il faut inventer
Elle regardait par la fenêtre
Une façon d'être
Quand je la bouchonnais
L'écume de ses vagues vaginales
S'irradiaient en petits râles
Quand je la suçais
Elle mouillait, je la vidais
Elle inondait, je la séchais
Elle était ma boisson
Elle m'ôtait la raison
Certains, certaines, sont alcooliques
Moi, j'étais vaginique
Pourtant, un jour, totalement, je faillis l'étrangler
Car, de fait, elle était bien mariée
Et ce fut secret bien gardé
Pendant un temps déterminé
Elle avait fui la Roumanie
De Ceausescu en pleine folie
Elle était brune comme prune noircie
Elle fut un temps ma folie
Patrice Faubert (1983) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Faubert Patrice- Messages : 2199
Date d'inscription : 14/09/2013
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